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ROAD TRIP – Les voyages de la communauté

PAYS BASQUE ► LA ROUTE DES CONTREBANDIERS ► Virada Sud

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PAYS BASQUE ► LA ROUTE DES CONTREBANDIERS ► Virada Sud

Distance : 230 KM

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Difficulté : 5/5

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Beauté des paysages : 4/5

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Budget : 25€

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Moi, c’est Virada Sud

Comment on dit déjà ? "Il est tombé dans la marmite étant petit"... Ca résume bien la chose. J'ai 36 piges, dont 32 sur deux roues. 32 ans que j'ai (au moins) une moto dans le garage. A 4 ans, mon père me lance sur une mini moto.  J'ai ainsi usé la pelouse du jardin jusqu'à mes 12 ans.




Je découvre alors le trial., discipline mère de toutes les autres. Je me lance là dedans, et apprend toutes les subtilités de la moto. D'abord discipline ingrate (j'en ai fait des virages serrés, à plats, en dévers...) elle devient danse puis acrobatique lorsque le niveau monte.  Je recommande à tout le monde de se frotter au trial, ta vie de motard s'en verra transformée ! 


C'est pas pour rien que mes deux gosses de 7 et 10 ans ont déjà une belle maitrise de l'engin et font la fierté de leurs parents
: deux doigts sur l'embrayage, le pieds sur le frein arrière, en équilibre, le regard loin...




Bref! En parallèle du trial, je me prends aussi pour un pilote, au guidon de ma 50TZR Chéca réplica, un cuir Shwantz sur le dos (quel beau combo !). Je roule déjà bien plus que nécessaire, la moindre excuse étant bonne pour enfourcher mon "pisse feu" comme disait mon père. Je part même rouler... pour rouler.

Attaquant des cols, seul, tant pis;

Les ascensions plutôt longues, les descentes en furie !
 A 20 ans, j'ai enfin pu réunir les fonds, vendant ma moto de trial, pour acheter ce qu'on appelle aujourd'hui une youngtimer, mais à l'époque (2007) c'était juste un vieux truc. Une belle Ducati 750 SuperSport ! Je rêvais de cette moto, surement à cause d'excès de lecture des albums de Joe Bar Team. Je me souviens que je n'arrivais même pas à ouvrir en grand tellement je la trouvais puissante ! Quand je pense aujourd'hui au poumon que c'est....

Une fois mes premières paies encaissées, j'ai voulu passer au modèle aux dessus. Toujours la même gamme, toujours Ducati. J'ai craqué pour un 1000SSie. Quelle gueule ! Encore une fois, je prend une claque à chaque accel ! Mais bien vite, je me rend compte que je n'ai pas les compétences pour amener un tel engin. Je décide, difficilement de changer, et de revenir à la base avec la plus petite Ducati du moment : le Monster 696. Un choix de raison qui s'est révélé très bon, puisque j'ai pu vraiment progresser à son guidon sur route.




En même temps, j'avais gardé mon vieux 7/50 pour faire des ronds sur circuit. Je me suis éclaté à aller sentir le cul des grosses à chaque freinage ! La vie, et surtout le travail me fond déménager en Italie, à une centaine de kilomètres de Bologne. Quel beau hasard ! Je n'avais pas fini d'emménager dans ma maison que j'avais déjà visiter l'usine Ducati et son Ducati Store...

Je craque sur la Ducati Streetfighter 848. Moto neuve, pré série, prise direct à l'usine.


Ca représentait énormément de choses pour moi ! Celle là, elle va rester avec moi jusqu'au bout ! Et elle est toujours là. Je prend toujours autant de plaisir à son guidon !

Mais il n'y a pas que la route ! Je me suis essayé à pas mal d'autres disciplines. Un peu de cross, du super motard, beaucoup d'enduro.

Et toujours accompagné de ma femme qui pratique autant que moi (oui elle aussi roule en Ducati !).


Coté voyages, j'ai roulé sur pas mal de traces. Habitant le Sud Ouest, j'ai poncé les Pyrénées de long en large, coté Espagnol et Français. J'ai tâté des pistes et du sable au Maroc. La Corse évidemment, passage obligé pour tout motard. Les Alpes, la Lozere... Mais le Roadtrip le plus mémorable fut celui au Vietnam.

3000km à bord d'une puissante Wave 110,  affublé d'un casque recollé, et des gants fait avec des bouts de tissus déchirés. Guidés par un carte qui s'avérait être fausse. Se tirant la bourre dans les pistes avec un vietnamien en tong trimbalant deux cages avec des poulets vivants. Roulants de nuit avec un phare pour deux.




A la rencontre de gens tous plus extraordinaires les uns que les autres. Des jeunes effrayés, des vieux se moquant de notre ganache... Preuve encore que ce n'est pas le véhicule qui fait le trip. Ma femme et moi nous sommes mis au trail il y a 4 ans. L'enduro étant trop restrictif. Nous voulions rouler plus facilement.

Nous avons donc évidemment choisi des trails pas comme les autres. Deux Cagiva 750 Elefant ! Madame a rapidement changé, bien trop lourd pour elle. J'ai persisté dans ma mauvaise foi. Mais vu qu'on pratiquait plus de l'enduro longue distance que du gentil trail, j'ai dû me rendre à l'évidence qu'un jour, j'allais la casser en deux. 




J'ai mis de coté tous mes principes, et je me suis orienté vers le "light is right". J'ai trouvé une Suzuki 350 DRse. Quel pied! Légère, économique, confortable. Il y a largement tout ce qu'il faut pour rouler tous les jours, et partir à l'autre bout du monde en prenant les chemins les moins accessibles.  Déjà 8000km en un an.  Je n'ai pas encore trouvé une moto qui m'en donne autant pour si peu.




De manière générale, avec l'âge et l'expérience, j'ai pu me rendre compte que ce n'est pas la plus grosse moto qui donne le plus de plaisir, ni le plus gros road trip. J'ai la chance d'être au pied des montagnes. Je pars régulièrement à l'assaut du monde à une heure de la maison.




Bon j'ai raconté mon histoire roulante, mais est-ce que je vous raconte mon histoire de mécano ? Mes heures passées au fond du garage à réparer, préparer, restaurer. Mes motos anciennes, Ducati (évidemment) SS, Mostro, Desmo, mais aussi Norton, et puis il y a les voitures anciennes, les trips en anciennes, les courses, les rallyes, les hivernales... Bon, on se prend une bière on en discute quand tu veux.   

Photo du voyageur

POURQUOI JE VEUX T'EMMENER LÀ-BAS ?

La route des contrebandiers, c'est 230km de virages, 7 passages de frontière France-Espagne en plein cœur du Pays Basque. On découvre tout type de route, de la route à chèvres en béton, jusqu'au beau ruban noir bouffeur de sliders. Et que dire des paysages? De la moyenne montagne, des changements de style à chaque col. On passe de la colline verdoyante au petit village espagnol, en passant par les grandes villas basque et les cascades dans les forêts.


EN CHIFFRES

Carburant

Pour 230 km, vous devriez avoir assez en faisant le plein à Saint Palais. Pour les ducatistes comme moi avec un petit réservoir, prévoir de faire le plein à Saint Etienne de Baigorri ou en Espagne (moins cher) à Aurizberri par exemple

Restauration

Chez Peio, en haut du col d'Izpegui, vous pourrez vous remplir le ventre jusqu'en haut pour environ 25 euros. Profitez en pour faire le plein de produits bien moins taxés qu'en France !

Hôtel

Si tu souhaites te loger à Saint Jean-Pied de Port, la villa Goxoki est vraiment top. Chambres parfaites, piscine, accueil et petits déjeuners vraiment bien. 

LES SPOTS À NE PAS MANQUER

BON À SAVOIR

LE ROAD TRIP

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Saint- Palais : Saint Jean de Luz

  • Distance : 230 KM

  • Difficulté : 3/5

  • route

  • Nous sortons par le coté Sud-Ouest de la ville sur la D8. Au bout de 10Km sur cette large départementale, juste après un petit pont sur « La Joyeuse », nous tournons à gauche sur la D508 en direction de Ostabat. Un gros kilomètre plus loin, la D508 s’échappe à gauche sur un pont de pierre, il ne faut pas la manquer sous peine de se perdre dans la campagne Saint Palaisienne. 

  • Cette petite route serpente jusqu’en haut du col d’Iparlatze. Il ne fait que 325m, mais de là, l’entrée du Pays basque s’offre à nous. Après la descente, nous arrivons sur la D933 qui lie Saint Palais à Saint Jean pied de Port. Dès le premier rond-point, à gauche, direction le col d’Osquich. Mais après seulement 3.6Km, nous nous jetons sur la droite en direction du Col de Gamia. Bien que le revêtement soit mauvais, le côté coulisses de ce pays est toujours beau à voir. 

  • En haut du col, la vue magnifique sur les montagnes nous saute au visage. A droite, le restaurant du col offre de bons repas face à ce paysage dont on ne se lasse pas. Nous suivons la D120 direction Saint Jean, et une fois arrivé au cédez le passage, nous rentrons dans le village à gauche et traversons Saint Jean le Vieux puis bifurquons à gauche à l’hôtel restaurant Mendy, puis à droite sur la D118 direction Aincille. Il y a là un passage qui nous fera éviter la traversée de Saint Jean pied de Port. 

  • La route est étroite, piégeuse, elle n’est même pas référencée sur les cartes. La traversée d’Aincille est complexe. A l’entrée du village, il faut éviter à tout prix la tentation de suivre la route principale vers Caro. Trouvez le Fronton, et passez à sa droite. Nous tombons littéralement sur la D301. Alors à gauche ! Vers la montagne. La route qui longe la Nive de Béhérobie est belle et rapide, mais les faux plats cachent souvent des virages, il faut être attentif. 

  • Peu après la traversée d’Esterençuby, il nous faut prendre à droite aux deux pattes d’oie successives. Dans la forêt, personne, le calme absolu. En haut, nous prenons à gauche vers la « Cueva des Arpea », des grottes magnifiques dessinées en vague par la roche sur le Col d’Orgambide. Il y a là une voie, sur la droite qui s’enfonce vers l’Espagne. Ce n’est pas une route, rien sur la carte, juste une route de béton. Nous passons la frontière. 

  • On se retrouve donc à rouler presque au ralenti sur cette voie bétonnée, observant la nature autour de nous. Ici, il n’est plus question de plaisir de conduite mais de bonheur de se retrouver dans un lieu qui inspire la quiétude. Si on était dans un Disney, on s’attendrait à voir Bamby qui trottine avec des oiseaux qui chantent autour de lui. Et Panpan derrière un arbre qui… NON, ça c’est l’esprit tordu des motards… Dans la descente, sur la droite, un refuge pour randonneurs la porte toujours ouverte. Mais ce qu’il y a à voir est quelques kilomètres plus bas. 

  • Nous entrons dans un hameau et découvrons en contre-bas des ruines. C’est l’ancienne Manufacture Royale d'Armes d’Orbaizeta. Datant du XVIIème siècle, puisant dans les sources d’eau et de fer du coin, elle fut régulièrement le siège de batailles Franco-espagnoles. La route s’élargie et nous voilà dans les coteaux espagnols sur la NA-140 jusqu'à la route de Roncevaux. Au stop, nous prenons à gauche. La route large et le bitume lisse nous invitent à rentrer à bonne allure dans les courbes. 

  • Après un interminable virage à droite, nous plongeons en direction de Sorogain. Sur une minuscule voie longeant la rivière, on s’enfonce dans un bois. Quelques jolies clairières laissent passer le soleil. Une fois sorti de la forêt, le paysage a complètement changé. La petite route serpente entre les prairies, les vaches et les randonneurs. La prudence doit toujours être de la partie. Arrivé au sommet du col, la frontière n’est matérialisée que par une simple clôture. Une carte postale nous saute aux yeux. Tout le Pays basque français est en représentation pour nous offrir un spectacle fascinant. 

  • Nous plongeons sans attendre dans cette carte postale. La route est très étroite et mauvaise côté français. Nous nous retrouvons même face à un gué. Nous repassons sans même nous en apercevoir en Espagne sur quelques dizaines de mètres. Dans la descente vers Urepel puis Aldude, c’est le plaisir de se laisser glisser sur le frein moteur prend le dessus. Passé Aldude, la route s’élargie et nous offres de grandes et belles courbes. Saint Etienne de Baïgorry est en vue. 

  • A gauche au rond-point, nous entrons dans cette petite ville qui semble n’être ni française ni espagnole… non elle est bien Basque. Le rouge et le blanc omniprésents illuminent ce village même par mauvais temps. Direction le col d’Ispeguy. Dès les premières épingles, cette petite route en corniche est un appel au gaz. Les virages s’enchainent indéfiniment. Mais attention ! Les brebis envahissent la chaussée, et les cyclistes coupent les virages. Sur la gauche du sommet, un grand parking avec un restaurant côté français. 

  • Mais je conseille le petit parking de chez Peio quelques mètres plus loin de l’autre côté de la frontière. Dans cette auberge, le patron nous accueille à bras ouvert. Sa cuisine simple et locale est un régal. On se sent « à la maison ». Après un bon repas, il faut repartir. Nous nous lançons dans la descente vers le fond de la petite vallée espagnole, ou plutôt Basque, ne mélangeons pas tout. Depuis le haut, on peut voir la route étroite mais au bitume parfaitement lisse qui serpente sur le flanc de la montagne pour s’enfoncer dans le bois au fond de la vallée. Un air de mini Passo dello Stelvio. 

  • Une fois le long de la rivière, nous suivons le cours d’eau entouré d’une flore verdoyante. Après s’être faufilé dans les rues étroites d’Erratzu, le paysage s’ouvre. La route tire maintenant droit à travers les prés bordés de murs de pierres. Ce paisible voyage s’arrête au niveau du Stop de la NA-121-B. Nous partons vers le Nord, vers la frontière, pour toujours surfer sur elle. Une première portion, large et aux grandes courbes, permet de vider les imbrulés dans les cylindres, tout en profitant de certaines curiosités du paysage. Comme ce monument aux morts aux allures de ruines Mayas, qui est d’ailleurs perché sur la colline au-dessus d’un village s’appelant : Maya ! 

  • En haut du Col d’Otxondo, la nationale devient départementale. Bien que gardant ses deux voies, le bitume se dégrade un peu et resserre ses virages. Approchant de Dantxaria, debout sur les freins, et à gauche sur la NA-4402 en direction d’Urdax puis à droite après le pont vers les « Cuevas de Urdazubi». Encore une fois, on change de paysage et de rythme. La route en béton ne nous permet pas de prendre de la vitesse. 

  • S’enfonçant dans une forêt dense sur ce petit chemin nous arrivons vite sur une route goudronnée et partons à gauche vers Zugarramurdi. Un nom à coucher dehors pour ce village plein d’histoire. C’est le village des sorcières ! Dans les grottes des alentours étaient censés se réunir des sorciers et surtout des sorcières dans des cérémonies appelées « akelarre » (lande du bouc, en basque). En traversant la place du village, on imagine facilement le procès qui eut lieu en 1610 lors duquel l'Inquisition accusa de sorcellerie quarante habitants de Zugarramurdi et en condamna douze au bûcher. Les condamnations se basèrent pour la majeure partie des cas sur des témoignages empreints de superstition, peu fiables et produits par des envieux. 

  • Nous laissons l’église surplombant la place sur notre gauche et suivons le panneau « parking » face à nous. Cette route, qui nous mènes une nouvelle fois vers la frontière, ne semble avoir d’autre fonction que celle d’échapper à la pollution routière déversée par les touristes, les répressifs assermentés et autres infrastructures castratrices de plaisir. Ici ne cohabitent que le ruban noir, les quelques fermes, et la nature. 

  • Nous faisons le tour d’une Venta marquant le passage en France et arrivons rapidement aux abords de Sare. Si nous continuons droit devant, la côte n’est pas loin. Mais ça serait bien trop court. Au STOP de l’entrée du village, nous prenons donc à gauche sur la D306, cette route qui monte vers le col de Lizarrieta. Au bout de seulement un ou deux kilomètres, on se demande si le choix était bon. La route se dégrade de plus en plus, et s’enfonce dans un bois humide et sombre. Les feuilles et la terre mouillées rend le bitume glissant. Les épingles grimpent fort. La conduite est difficile… 

  • En haut du col, pas de frontière entre la France et l’Espagne, après tout nous sommes toujours chez les Basques ! La route quant à elle change complètement. Un billard noir descend entre les arbres qui nous laissent parfois entrevoir la vallée bigarrée en contre bas. Vu les traces de gomme laissées un peu partout, on imagine bien que d’autres l’empruntent régulièrement. Nous traversons le petit village d’Etchalar puis des grandes courbes nous mènent jusqu’à la N-121-A. Mince… Nous sommes sur l’axe Pampelune-Irun. Ici, les 38 tonnes font la loi. Pas le choix, nous nous engageons dans le rond-point et sortons en direction de « Frantzia ». On s’échappe à la première sortie vers Bera. Dans Bera, attention à ne pas se tromper, au premier et seul feu de la ville, il faut prendre à droite. 

  • Sinon, le retour sur la piste aux monstres géants nous sera fatal. Quelques centaines de mètres plus loin, passant sous les balcons fleuris des maisons blanches, un panneau nous indique Ibardine à gauche. Ce nom nous parait familier. Les 6km espagnols qui montent là-haut sont du pur bonheur. L’envie de s’y engouffrer est grande. Mais il faut penser à la suite. Car après être monté au paradis, il faudra descendre aux enfers. Une route étroite nous empêchera de doubler les troupes de retraités effectuant leur sortie dominicale. Non, décidément, ce n’est pas une bonne idée. 

  • Alors, tout droit direction Lizuniaga Tik sur cette route délaissée. Délaissée et pourtant belle, large et aux courbes dessinées. Si la route était une partition de musique, nous danserions une valse. Sans même nous en rendre compte, nous arrivons déjà sur Sare. Oui, à seulement quelques mètres de là où nous étions il y a une heure. Il est temps de se diriger un peu plus directement vers notre objectif final. Nous prenons à gauche au rond-point suivant le panneau Saint Jean de Luz, Ascain… Col de Saint Ignace ! Il y a donc encore un col !! La journée n’est pas finie ! Ce n’est que de la gourmandise. 

  • On se retrouve vite dans Ascain, au pied de la Rhune, cette colline vue comme une montagne par les locaux. Dès l’entrée, face à la mairie, nous ne suivons surtout pas l’indication Saint Jean de Luz, mais direction Urrugne. Les gens normaux rentrent par la porte d’entrée, nous, on entrera dans Saint Jean par la porte de derrière… Nous suivons donc la D4 sur 4km et remontons à droite vers Ciboure sur le petit rond-point de Ohlette. C’est maintenant une carte postale du Pays basque que nous traversons. Pelouses taillées de près, grandes villas à flanc de coteaux. Nous pénétrons dans Ciboure par le Golf de la Nivelle. Au STOP du Golf, nous prenons à gauche mais pour seulement 60 mètres. Nous tournons directement à droite en direction du centre-ville. Après être passés sous la voie ferrée, nous suivons la direction de Socoa. Le rond-point au fond du port nous ouvre la vue sur notre but ultime, l’Océan !   

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Les plus beaux spots

La piste en béton nous mène en Espagne

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